Comme tout bon bricoleur du dimanche, j’ai la mauvaise habitude de me lancer dans des projets qui dépassent mes compétences et mettent en lumière le manque de profondeur de ma boite à outils. Armé de mes bonnes intentions et accompagné de ma douce moitié (pour ceux qui suivent mes aventures, j’ai fini par trouver… yay!!!), je me dirigeais donc, d’un pas léger, vers la quincaillerie la plus proche de chez moi. À défaut de compétences, j’y trouverai probablement les outils adéquats.
Après un rapide survol des étals et les conseils relativement éclairés d’un préposé, me voici armé d’une ponceuse, d’une perceuse et de plusieurs outils dont le nom, deux mois plus tard, m’échappe complètement.
Si l’opération « rénovation d’un vieux meuble trouvé dans la rue » s’est finalement bien déroulée, je réalise aujourd’hui le caractère inutile des dépenses réalisées ce jour-là. Avec près de 150 dollars investis, je suis désormais équipé d’outils que, selon mon intime conviction, je n’utiliserai plus jamais et qui occupent beaucoup trop de place dans l’un de mes rares placards.
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