CATÉGORIES : Actualités
22 mars 2016

Pour un fervent de hockey et de statistiques, l’avènement des statistiques dites « avancées » ajoute du piquant à un jeu qui s’est plus rapproché des échecs (défensives élaborées) que du basketball (attaques spectaculaires) ces dernières années.

En effet, de nos jours, tout y passe, des chiffres plates et simplistes tels le Corsi et Fenwick – basés sur une donnée aussi peu fiable que les tirs au but tentés – aux analyses plus en profondeur comme la zone dans laquelle certains joueurs sont plus utilisés ou la force de l’adversaire leur faisant face.

Tout est devenu sujet à interprétation – et on peut faire dire ce que l’on veut à n’importe quelle statistique. Par exemple, à une certaine date, en 2015-16, quand Carey Price était le seul blessé, le Canadien de Montréal avait une fiche de 6-2-2, alors que sans l’ailier Brendan Gallagher, le même club montrait une fiche de 5-11-2 – mais la moitié de ces matchs-là l’étaient aussi sans Price, alors on peut assumer que de perdre deux pièces-maîtresses fait plus mal qu’une seule.

Pour un fervent de hockey et de statistiques, l’avènement des statistiques dites « avancées » ajoute du piquant à un jeu qui s’est plus rapproché des échecs (défensives élaborées) que du basketball (attaques spectaculaires) ces dernières années.

En effet, de nos jours, tout y passe, des chiffres plates et simplistes tels le Corsi et Fenwick – basés sur une donnée aussi peu fiable que les tirs au but tentés – aux analyses plus en profondeur comme la zone dans laquelle certains joueurs sont plus utilisés ou la force de l’adversaire leur faisant face.

Tout est devenu sujet à interprétation – et on peut faire dire ce que l’on veut à n’importe quelle statistique. Par exemple, à une certaine date, en 2015-16, quand Carey Price était le seul blessé, le Canadien de Montréal avait une fiche de 6-2-2, alors que sans l’ailier Brendan Gallagher, le même club montrait une fiche de 5-11-2 – mais la moitié de ces matchs-là l’étaient aussi sans Price, alors on peut assumer que de perdre deux pièces-maîtresses fait plus mal qu’une seule.

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Qu’ont en commun les modèles d’affaires d’iTunes, Nespresso et Netflix, pour ne citer que ceux-là? Ce sont des innovations majeures, adoptées par des millions de consommateurs à travers le monde, qui ont radicalement transformé des industries. Ces succès planétaires ont su capitaliser sur une compréhension profonde du consommateur sur les trois aspects suivants : Ses besoins : ils ont bien […]

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Lorsqu’ils nous confient des sondages de satisfaction de clientèle, de mobilisation des employés ou des mesures d’efficacité publicitaire, nos clients réclament généralement des benchmarks pour comparer leurs résultats.

Cette demande est légitime. En l’absence de références, il est souvent difficile de conclure. Que vaut une note de satisfaction de 7,4 sur 10? Faut-il se réjouir ou se retrousser les manches? Les benchmarks répondent donc à un besoin essentiel : donner un sens au résultat en le mettant en perspective.Le réflexe courant est alors de rechercher le plus gros benchmark possible. Mais à quoi bon se comparer à un grand ensemble si les cas qui le constituent ne sont pas similaires au sien? Ainsi, tout benchmark doit avant tout passer le test de la pertinence…

Lorsqu’ils nous confient des sondages de satisfaction de clientèle, de mobilisation des employés ou des mesures d’efficacité publicitaire, nos clients réclament généralement des benchmarks pour comparer leurs résultats.

Cette demande est légitime. En l’absence de références, il est souvent difficile de conclure. Que vaut une note de satisfaction de 7,4 sur 10? Faut-il se réjouir ou se retrousser les manches? Les benchmarks répondent donc à un besoin essentiel : donner un sens au résultat en le mettant en perspective.Le réflexe courant est alors de rechercher le plus gros benchmark possible. Mais à quoi bon se comparer à un grand ensemble si les cas qui le constituent ne sont pas similaires au sien? Ainsi, tout benchmark doit avant tout passer le test de la pertinence…

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26 janvier 2016

Je suis toujours éberlué par la fréquence à laquelle des entreprises compliquent ma vie de consommateur : présentation alambiquée des produits et options disponibles, menus inadéquats des systèmes de réponse vocale, lourds processus de retours de marchandises, etc.

Or, comme la plupart des gens, je déteste ce qui est compliqué. Pressé par le temps et dans un monde de plus en plus complexe, où foisonnent les fournisseurs, les produits et les options, le consommateur est plus que jamais en quête de simplicité. La simplicité, ou la facilité de faire affaire, est devenue un critère prédominant. Certaines organisations l’ont bien compris et elles ont gagné ma fidélité pour longtemps :

Nespresso : en moins d’une minute, je passe mes commandes de café via l’application sur mon téléphone. Je reçois mes capsules en 48 heures ouvrables.
Esso Speedpass : grâce à ce dispositif de paiement, relié à ma carte de crédit, je gagne quelques minutes à chaque plein d’essence, tout en accumulant des points.
Avis : je réserve d’abord mon véhicule via l’application. À destination, la navette d’Avis me dépose devant un grand tableau, où sont affichés mon nom et l’emplacement du véhicule que j’ai réservé. Je me rends à l’emplacement, les clés sont dans le véhicule, je suis prêt à partir.

Je suis toujours éberlué par la fréquence à laquelle des entreprises compliquent ma vie de consommateur : présentation alambiquée des produits et options disponibles, menus inadéquats des systèmes de réponse vocale, lourds processus de retours de marchandises, etc.

Or, comme la plupart des gens, je déteste ce qui est compliqué. Pressé par le temps et dans un monde de plus en plus complexe, où foisonnent les fournisseurs, les produits et les options, le consommateur est plus que jamais en quête de simplicité. La simplicité, ou la facilité de faire affaire, est devenue un critère prédominant. Certaines organisations l’ont bien compris et elles ont gagné ma fidélité pour longtemps :

Nespresso : en moins d’une minute, je passe mes commandes de café via l’application sur mon téléphone. Je reçois mes capsules en 48 heures ouvrables.
Esso Speedpass : grâce à ce dispositif de paiement, relié à ma carte de crédit, je gagne quelques minutes à chaque plein d’essence, tout en accumulant des points.
Avis : je réserve d’abord mon véhicule via l’application. À destination, la navette d’Avis me dépose devant un grand tableau, où sont affichés mon nom et l’emplacement du véhicule que j’ai réservé. Je me rends à l’emplacement, les clés sont dans le véhicule, je suis prêt à partir.

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18 décembre 2015

L’omniprésence contextuelle, ça vous dit quelque chose? L’omniprésence contextuelle fait référence au fait qu’une marque ne doit pas être présente partout et en tout temps pour marteler son message aux consommateurs. Elle préfère être présente au bon moment, dans le bon contexte et avec le bon message.

Cette tendance fait son apparition tout juste après celle qui a convaincu les compagnies qu’elles devaient être omniprésentes pour capturer toutes les impulsivités des consommateurs. Elle suggère donc clairement un retour en arrière pour prévenir les dérapages potentiels de cette omniprésence frôlant le harcèlement.

L’omniprésence contextuelle, ça vous dit quelque chose? L’omniprésence contextuelle fait référence au fait qu’une marque ne doit pas être présente partout et en tout temps pour marteler son message aux consommateurs. Elle préfère être présente au bon moment, dans le bon contexte et avec le bon message.

Cette tendance fait son apparition tout juste après celle qui a convaincu les compagnies qu’elles devaient être omniprésentes pour capturer toutes les impulsivités des consommateurs. Elle suggère donc clairement un retour en arrière pour prévenir les dérapages potentiels de cette omniprésence frôlant le harcèlement.

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